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Charles Trenet
Charles Trenet.
Biographie
Naissance
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Narbonne (France)Voir et modifier les données sur Wikidata
Décès
Voir et modifier les données sur Wikidata (à 87 ans)
Créteil (France)Voir et modifier les données sur Wikidata
Sépulture
Cimetière de l'Ouest (d)Voir et modifier les données sur Wikidata
Nom de naissance
Louis Charles Augustin Georges TrenetVoir et modifier les données sur Wikidata
Nationalité
françaiseVoir et modifier les données sur Wikidata
Activités
Compositeur, auteur-compositeur, auteur-compositeur-interprète, chanteur, acteurVoir et modifier les données sur Wikidata
Période d'activité
-Voir et modifier les données sur Wikidata
Mère
Marie-Louise Caussat-Trenet (d)Voir et modifier les données sur Wikidata
Autres informations
Membre de
Académie des beaux-arts (-)Voir et modifier les données sur Wikidata
Taille
1,8 mVoir et modifier les données sur Wikidata
Labels
Capitol Records, CBS Disques, Pathé, EMIVoir et modifier les données sur Wikidata
Genres artistiques
Chanson française, sardaneVoir et modifier les données sur Wikidata
Distinction
Commandeur des Arts et des Lettres? ()Voir et modifier les données sur Wikidata
Discographie
Discographie de Charles TrenetVoir et modifier les données sur Wikidata
Prononciation

Charles Trenet, né le à Narbonne et mort le à Créteil, est un auteur-compositeur-interprète français.

Surnommé à ses débuts « le Fou chantant », il est l'auteur de près de mille chansons à l'inspiration souvent poétique, dont certaines, comme Y a d'la joie, Ménilmontant, Douce France, La Mer ou encore L'Âme des poètes, demeurent des succès populaires intemporels, au-delà même de la francophonie.

Sa carrière, qui a débuté en 1933, a traversé plusieurs décennies, lui permettant de se produire sur les plus grandes scènes françaises et internationales. Malgré les épreuves, notamment pendant la Seconde Guerre mondiale, Trenet a su rester une figure incontournable de la chanson française, célébrée pour son talent d'auteur-compositeur-interprète. Ses contributions à la culture française lui ont valu de nombreuses distinctions et reconnaissances tout au long de sa vie.

Biographie

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Enfance

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Maison natale de Charles Trenet, à Narbonne, aujourd'hui ouverte aux visiteurs.

Louis Charles Augustin Georges Trenet naît en 1913 à Narbonne, quatre ans après son frère Antoine (1909-1969), dans la maison de ses parents, Lucien Trenet (1882-1966) et Marie-Louise Caussat (1889-1979), au 2 rue Anatole-France (à l'époque, maintenant le 13 avenue Charles-Trenet) ? maison devenue depuis le musée Charles-Trenet. Son père est mobilisé pendant la Première Guerre mondiale, mais sa famille garde le niveau de vie de la bourgeoisie de province grâce à son grand-père maternel Auguste, marchand de bois qui s'est opportunément reconverti en tonnelier et fournit en vin les soldats en guerre.

En 1920 ses parents divorcent. Charles partage alors son enfance entre Narbonne, où réside sa mère, et Saint-Chinian où habite son père, notaire et violoniste amateur. Plus tard, Trenet évoquera sa vision de la féminité à Narbonne comme celle de la masculinité pour Perpignan. Il développe sa sensibilité à la musique et au rythme grâce à sa mère, qui joue au piano le morceau Hindustan (de) et écoute sur le phonographe familial des standards de jazz de George Gershwin, et aussi grâce à son père qui a découvert ces rythmes par les soldats américains pendant la guerre.

Charles et son frère Antoine sont placés chez les Pères de la Trinité, un collège religieux de Béziers. « L'école était libre mais pas moi » confie-t-il plus tard. Il garde de ses années de pensionnat le souvenir douloureux de l'absence maternelle, thème récurrent dans son ?uvre (Le Petit Pensionnaire, L'Abbé à l'harmonium, Vrai vrai vrai?).

Son père se remarie en 1927 avec Françoise Prats (1900-1992) et a 2 autres enfants : Claude ( - ) et Lucienne (née le ).

Trenet découvre le théâtre, la poésie et le sens du canular grâce à Albert Bausil, poète de Perpignan, ami de son père qui y a acheté une étude de notaire en 1922, et de son journal hebdomadaire Le Coq catalan, dont le titre est déjà un calembour ("coq à talent"). Dès l'âge de 13 ans il y publie des poèmes sous le pseudonyme de « Charles » ou « Jacques Blondeau », et joue dans différentes pièces. Pendant deux ans il dévore les ouvrages de poésie de la bibliothèque de Bausil, développant sa culture littéraire. Période joyeuse faite de complicité intellectuelle, où Bausil l'initie aux jeux de mots mais aussi probablement aux jeux sexuels.

En 1928, après avoir été renvoyé du lycée à la suite d'une injure envers le surveillant général, Trenet quitte Perpignan pour Berlin, où vivent sa mère Marie-Louise et son second mari, le réalisateur Benno Vigny, tandis que son père s'est remarié l'année précédente avec Françoise Prats, une jeune Catalane de 27 ans. Pendant dix mois Trenet fréquente une école d'art et rencontre des célébrités allemandes, amies de son beau-père, comme Kurt Weill ou Fritz Lang, et voyage également à Vienne et Prague aux côtés de sa mère. À 16 ans, à son retour en France, il se rapproche du poète Albert Bausil. Il se destine à la peinture ? son premier vernissage a lieu en 1927 ? prépare un roman, Dodo Manières, qui va finalement être publié en 1939, et s'identifie totalement au monde des arts.

Charles et Johnny

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Mon destin de poésie a jeté bas son masque, a déchiré son costume, a revêtu le mien et nous sommes partis, tous deux ? et je suis parti tout seul, sur la voie dont certains aiguillages me séparaient souvent du reste du monde.
Fin du texte intitulé Quel est mon destin ?, écrit par Charles Trenet pour son examen d'entrée à la Sacem en 1933.

Au début de septembre 1930 il quitte Narbonne pour Paris dans le but de poursuivre dans le journalisme, tout en ayant convaincu son père qu'il y étudie à l'école des arts décoratifs le dessin et l'architecture, comme son grand-père architecte. Pour gagner sa vie à son arrivée à Paris, sur les recommandations d'Albert Bausil il travaille dans les studios de cinéma Pathé de Joinville en tant qu'accessoiriste : il est chargé de faire les « claquettes » annonçant le début d'une scène et se mêle au groupe d'artistes de Montparnasse. Il rencontre Antonin Artaud, Jean Cocteau et Max Jacob, auxquels il confie ses envies littéraires, et qui le surnomment le « téméraire ». Il compose ses premières chansons pour le film Bariole de son beau-père Benno Vigny. S'inspirant des duos Pills et Tabet et Gilles et Julien alors en vogue, il forme en 1933 le duo « Charles et Johnny » avec le pianiste suisse Johnny Hess, qu'il rencontre en 1932 au club de jazz le College Inn. Les deux compères, familiers du cabaret Le B?uf sur le toit, y rencontrent souvent le chanteur Jean Sablon, auquel ils confient l'interprétation de la chanson qu'ils composent un soir, Vous qui passez sans me voir, et qui permet bientôt à Jean Sablon d'obtenir le succès aux États-Unis. Ils passent une audition au Palace devant le directeur Henri Varna et l'agence Audiffred, et Joséphine Baker leur permet d'être engagés en convainquant ceux-ci de prendre les duettistes sous contrat. Ils chantent également au cabaret Le Fiacre jusqu'en 1936.

Des débuts en solo éclatants

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Le service militaire met fin au duo : en octobre 1936 Trenet est appelé sous les drapeaux à la base d'Istres. Aidé par l'impresario Émile Audiffred, il participe à quelques galas en solo ; à l'occasion de l'un d'eux, à Marseille au cabaret du Grand Hôtel Noailles, il est surnommé le « Fou chantant ». C'est à ce moment de sa carrière qu'il compose et écrit ses chansons les plus célèbres : Y'a d'la joie, Je chante, Fleur bleue. Ces chansons sont dans un premier temps confiées à d'autres interprètes : Y'a d'la joie est d'abord chantée par Maurice Chevalier au Casino de Paris, dans la revue Paris en joie, pour l'Exposition internationale de février 1937, puis dans le film L'Homme du jour de Julien Duvivier. La Valse à tout le monde est interprétée par Fréhel, et Quel beau dimanche par Lys Gauty. Isolé et éloigné de Paris, Charles Trenet parvient à se faire muter à la base de Vélizy dans les Yvelines.

Libéré du service militaire en décembre 1937, il commence véritablement sa carrière en solo par une première séance d'enregistrement chez Columbia : Je chante et Fleur bleue. En janvier 1938 Trenet grave Y'a d'la joie et se réapproprie « son » ?uvre par la même occasion. En mars 1938, grâce à Émile Audiffred et Mitty Goldin, vient son premier grand triomphe sur la scène d'un music-hall, à l'A.B.C.. Il chante également au micro de Radio Cité, notamment le titre Boum !, pour lequel il reçoit sa première consécration : le grand prix du disque de l'Académie Charles-Cros. Il se lie d'affection pour le jeune poète et chansonnier Gabriel Arnaud, dont il soutient l'édition du premier roman Le Paroissien - Roman Picaresque.

En 1938, il tourne en vedette dans les films La Route enchantée et Je chante.

N'aimant pas son visage poupin, il se crêpe les cheveux, visse sur sa tête un chapeau de feutre mou rabattu en arrière, s'habille avec un complet-veston bleu et plante un ?illet rouge à sa boutonnière : le « Fou chantant » entame dès lors une longue tournée internationale qui le conduit en Angleterre, en Espagne, en Italie, au Maroc, en Grèce, en Turquie et en Égypte.

La guerre

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Inscription sur le mur d'une maison de Narbonne, proche de la cathédrale Saint-Just. Sa ville natale rend hommage à Charles Trenet en retranscrivant une chanson interprétée en 1951, L'Âme des poètes. D'autres murs de la ville célèbrent également le Fou chantant, dont un portrait quai de Lorraine.

La Seconde Guerre mondiale éclate et Trenet est mobilisé. Les journaux annoncent même officiellement sa mort. Il donne une entrevue en août 1940 au quotidien L'Éclaireur de Nice, dans laquelle il déclare : « C'est la troisième fois qu'on me tue. Je n'arrive pas à comprendre les raisons pour lesquelles on veut me trucider par persuasion. »

Pendant l'Occupation Trenet se consacre essentiellement au cinéma et joue dans six films dont Je chante, Romance de Paris et Adieu Léonard. Écrit par Jacques Prévert en collaboration avec son frère Pierre et réalisé par ce dernier, Adieu Léonard est le seul de ces films à rester dans la mémoire des cinéphiles. Sa carrière cinématographique prend fin avec la fin de la guerre.

À partir de 1941, il chante à Paris aux Folies Bergère, où il interprète des chansons telles qu'Espoir ? « Tous les jours noirs ont leurs lendemains » ? et Douce France, dont la salle reprend le refrain comme un hymne de la résistance, la chanson étant un soutien moral aux « expatriés de force » et non un acte de collaboration. Trenet dénonce son contrat au bout de quatre jours, en découvrant dans le public la présence de soldats allemands.

En 1944, il est dénoncé dans le journal Je suis partout pour sa ressemblance avec « le juif Harpo Marx » ou dans le journal Le Réveil du peuple, au motif que Trenet est une anagramme de Netter, « nom spécifiquement juif ». En fuyant la Gestapo, il est blessé par des agents d'une balle dans la jambe. Hospitalisé, il doit retourner chez sa mère pour trouver les papiers qui prouvent sa « non-judéité » sur quatre générations, réfutant ainsi ces assertions, ce qui lui vaut de ne plus être inquiété par la Gestapo.

À la Libération, la commission d'épuration le critique, notamment pour avoir composé des hymnes pour le régime de Vichy et chanté un concert en Allemagne (sur les trois prévus) avec Tino Rossi. Il est condamné à 8 mois d'inactivité, ramenés à 3 mois, et préfère partir pour l'Amérique.

Trenet évoque cette période de l'Occupation dans deux chansons, Jeunesse plumée, écrite en 1962, et Nous, on rêvait, écrite en 1992. Il admet que cette sombre période a tari son inspiration : selon lui, ses ?uvres postérieures à la guerre n'ont plus la fraîcheur et l'insouciance de ses premiers refrains.

L'Amérique

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Charles Trenet donnant un spectacle accompagné de quelques musiciens lors d'un rodéo présenté au stade Delorimier à Montréal, au Québec, 24 juillet 1946.

En 1945 Trenet part pour une tournée au Québec, puis à New York où il connaît un assez grand succès. Il va ainsi parcourir pendant près de deux ans le continent américain, du Brésil au Canada. Ce voyage au Canada lui inspire plusieurs chansons, notamment Dans les pharmacies et Dans les rues de Québec. Jusqu'en 1954 il parcourt le monde de concert en concert, sans s'arrêter d'écrire et de composer.

Jusqu'en 1945 le récital était réservé aux interprètes de musique classique. Charles Trenet fut le premier à avoir l'idée de donner, au Théâtre de l'Étoile, un récital de chansons. Et il encouragera également ses amis Charles Aznavour et Yves Montand à faire de même.

Retour en France

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Le , Charles Trenet assiste à l'enregistrement d'un album hommage qui lui est consacré par Jacques Hélian et son orchestre. Venu au studio "pour voir", Trenet est séduit et demande à Hélian s'il peut chanter avec les ch?urs. Il se voit attribuer de longs passages en solo. L'album s'appellera " Charles Trenet et Jacques Hélian vous invitent à la danse".

En 1954 Trenet rentre à Paris. Ses nouveaux succès comme Nationale 7 confortent sa notoriété. D'autres grandes chansons datent des années 1950 : La Folle Complainte, Moi, j'aime le music-hall et L'Âme des poètes.

Au début des années 1960 avec la vague yéyé, Charles Trenet se fait plus rare sur scène. Ces années sont pour lui l'occasion de se consacrer à la peinture et l'écriture. Il publie le roman Un Noir éblouissant (chez Grasset).

En 1965 il se fait accompagner sur scène et à la télévision par un groupe de rock, Les Piteuls, dont 2 membres, Serge Koolenn et Richard Dewitte, formeront en 1972 le groupe Il était une fois.

En 1968 Trenet a cinquante-cinq ans et trente années de carrière, qu'il envisage de fêter sur la scène de Bobino, mais les événements de mai 68 le font renoncer, et c'est au Don Camilo qu'il effectue une rentrée discrète. Son grand retour se fait l'année suivante au Théâtre de la Ville.

Second retour et premiers adieux

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Charles Trenet pendant le festival du Printemps de Bourges 1977.

1971 marquera pour lui le début d'un grand renouveau. Il quitte Barclay pour enregistrer plusieurs LPs pour CBS Disques. Deux titres du premier album seront très vite populaires : Il y avait des arbres, mais surtout Fidèle. Il se nouera très vite d'amitié avec Robert Toutan, directeur de promotion de sa nouvelle compagnie et avec lequel il collaborera fidèlement jusqu'en 1988. Celui-ci décide de lui faire faire son vrai retour en lui demandant de participer à toutes les émissions majeures de la télévision de cette période. Les radios suivront en programmant ces deux nouveaux titres plusieurs fois par jour. En 1971 il triomphera à l'Olympia, il a alors cinquante-huit ans. Affecté par la mort de sa mère en 1979, il s'enferme dans le silence et retourne dans sa propriété du sud de la France.

Le producteur québécois Gilbert Rozon, qui admire Trenet, se met alors en tête de relancer sa carrière et finit par le convaincre. Charles Trenet revient à la scène en 1983 à l'occasion du festival Juste pour rire de Montréal. Il ne la quittera plus. Au passage, il accepte d'être le président d'honneur de la première cérémonie des Victoires de la musique en 1985. En 1987, âgé de soixante-quatorze ans, il obtient un grand succès au Printemps de Bourges, où Jacques Higelin, inconditionnel des chansons de Trenet, l'a déjà présenté, voire imposé, lors du premier festival, à l'époque résolument rock, en 1977.

Les années passent, mais « le Fou chantant » reste indémodable et inépuisable. Il fête ses quatre-vingts ans sur scène à l'Opéra Bastille en devant de nombreux admirateurs, dont le président de la République française François Mitterrand. En 1999 il est fait membre de l'Académie des beaux-arts après avoir été refusé à l'Académie française en 1983. Il enregistre sa dernière chanson, Les poètes descendent dans la rue, en studio le , avec des musiciens de l'Orchestre philharmonique de Radio France, à l'occasion de la première édition du Printemps des Poètes. Son dernier concert a lieu en salle Pleyel à Paris, où il donne trois récitals, chantant assis.

Mort et hommages

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Tombe de Charles Trenet au cimetière de l'Ouest de Narbonne, renouvelée en 2019.

Fatigué, Charles Trenet se retire chez lui dans sa maison des bords de Marne à La Varenne Saint-Hilaire (Val-de-Marne), où deux accidents cardio-vasculaires successifs l'épuisent. Transporté à l'hôpital Henri-Mondor de Créteil, il meurt le , à l'âge de 87 ans, des suites d'un accident vasculaire cérébral.

Après des obsèques célébrées à l'église de la Madeleine, à sa demande par Monseigneur Jean-Michel di Falco Léandri, alors évêque auxiliaire de Paris, son corps est incinéré au crématorium du cimetière du Père-Lachaise et ses cendres sont déposées au cimetière de l'Ouest de Narbonne, dans le caveau familial en simple ciment. Le , jour de l'anniversaire du chanteur, sa tombe est renouvelée et désormais ornée d'une pierre tombale spectaculaire.

Le , à l'occasion du vingtième anniversaire de sa disparition, France 3 diffuse le documentaire Charles Trenet, l'enchanteur.

Contestation de l'héritage

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Trenet a légué quelques années plus tôt la totalité de son patrimoine à Georges El Assidi, qui fut son secrétaire particulier pendant près de vingt ans. Selon Lucienne Trenet (demi-s?ur de Charles), et Wulfran Trenet (fils de Claude et neveu de Charles), Georges El Assidi aurait dilapidé l'héritage, et ils contestent en 2008 le testament signé du en assignant ce dernier pour « abus de faiblesse, extorsion, violence et homicide volontaires ». L'affaire aboutit à un non-lieu.

Un second procès en appel se tient à partir du . La cour d'appel rejette la demande d'annulation du testament le .

  1. ? « TRENET Louis Charles Augustin Georges », sur deces.matchid.io (consulté le ).
  2. ? Sa Route Enchantée, portail des amis de Charles Trenet.
  3. ? Nelson Monfort, Le Roman de Charles Trenet, Monaco/Paris, éditions du Rocher, , 300 p. (ISBN 978-2-268-07510-5).
  4. ? Segot 2013, p. 11.
  5. ? Segot 2013, p. 47.
  6. ? Interview à la sortie du livre Mes jeunes années sur le site de l'INA.
  7. ? « Le « fou chantant » est dans un état critique », sur La Dépêche du Midi, .
  8. ? Sandro Cassatti, Charles Trenet, une vie enchantée, City éditions (lire en ligne). .
  9. ? Boris Vian, ?uvres : Manuel de Saint-Germain-des-Prés. Chroniques du menteur. Prière d'insérer. Conférences. Écrits pataphysiques. Critique. Science-fiction. Traité de civisme, Fayard, (ISBN 978-2-213-60242-4, lire en ligne)
  10. ? Charles Trenet, le « Fou chantant », émission diffusée sur Europe1, le 18 février 2011.
  11. ? Paris-Soir, édition du 30 juillet 1940.
  12. ? « Trenet: des rumeurs l'ont poursuivi toute sa vie », FIGARO,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  13. ? Richard Cannavo, Monsieur Trenet, p. 318.
  14. ? « Charles Trenet : bio-express et discographie », dans Le Nouvel Obs, 19 février 2001.
  15. ? Céline Fontana, La chanson française, Hachette pratique, , p. 51.
  16. ? Lors de son arrivée à New-York en 1948, il est emprisonné durant vingt-six jours dans le centre d'immigration d'Ellis Island, soupçonné d'homosexualité, en pleine période de maccarthysme.
  17. ? « Ecouter Jacques Hélian », sur www.jacques-helian.fr, (consulté le ).
  18. ? Jacques Hélian, Les grands orchestres de music-hall en France, Filipacchi, , 236 p., p. 179
  19. ? Voir sur charlestrenet.eu..
  20. ? « « Il était encore plein de projets » Gilbert Rozon, son manager depuis vingt ans », sur leparisien.fr, .
  21. ? « Monuments et architecture - Le cube du "fou chantant" - Saint-maur-des-fosses », sur cirkwi.com, 1970-01-01cet01:00:00+0100 (consulté le ).
  22. ? « Charles Trenet a tiré sa révérence », sur leparisien.fr (consulté le ).
  23. ? « Ouverture ART », sur lemonde.fr (consulté le ).
  24. ? « Narbonne : la nouvelle pierre tombale de Charles Trenet dévoilée », sur lindependant.fr (consulté le ).
  25. ? Julien Jouanneau, L'Affaire Trenet, bataille pour un héritage, Éd. Rocher, 2009.
  26. ? L'avocat de Georges El Assidi rappelle le non-lieu ayant conclu le procès Source Faits divers, le mag « Trenet : la bataille de l'héritage », 24 janvier 2010.
  27. ? « Charles Trenet. La demande d'annulation du testament rejetée », sur ouest-france.fr, (consulté le ).


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