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Alain Souchon
Alain Souchon en .
Biographie
Naissance
(81 ans)
Casablanca (Maroc)
Nom de naissance
Alain Édouard Kienast
Nationalité
Française
Suisse
Activités
Chanteur, acteur, auteur-compositeur, auteur-compositeur-interprète, artiste d'enregistrementVoir et modifier les données sur Wikidata
Période d'activité
Depuis Voir et modifier les données sur Wikidata
Enfants
Pierre Souchon
OursVoir et modifier les données sur Wikidata
Autres informations
Membre de
Sol En Si (d)Voir et modifier les données sur Wikidata
Taille
1,75 mVoir et modifier les données sur Wikidata
Instrument
Guitare acoustique, piano
Label
Virgin Records, RCA
Genre artistique
Chanson française
Site web
Distinctions
Liste détaillée
Victoire de la chanson originale de l'année ( et )
Victoire de l'album (, et )
Victoire de l'artiste interprète masculin ()
Victoire de l'album de chansons, variétés ()
Commandeur des Arts et des Lettres?
Prix Vincent-ScottoVoir et modifier les données sur Wikidata

Alain Souchon est un auteur-compositeur-interprète et acteur franco-suisse, né le à Casablanca, au Maroc. Figure majeure de la chanson française depuis les années 1970, sa carrière est notamment marquée par sa collaboration avec Laurent Voulzy entamée en 1974.

Il a vendu plus de 10 millions d'albums et avec dix trophées gagnés depuis 1986, il est l'un des artistes les plus récompensés aux Victoires de la musique.

Biographie

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Ses débuts

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Alain Édouard Kienast naît le à Casablanca, dans une famille aisée, d'origine franc-comtoise du côté maternel. Il porte d'abord le nom de son père officiel, Kienast, avant de prendre celui de son père biologique, Pierre Souchon, qui est le second mari de sa mère Madeleine Lemaître. Il a quatre frères, deux demi-frères et une demi-s?ur.

Il vit six mois à Casablanca au Maroc, puis passe toute son enfance à Paris, puis sept ans dans une pension en Haute-Savoie.

Son père biologique est professeur d'anglais au lycée Claude-Bernard dans le 16 arrondissement de Paris (qu'il évoque dans la chanson J'étais pas là sur l'album Toto 30 ans, rien que du malheur...), inhumé au cimetière parisien de Bagneux. Sa mère romancière pour la collection Floralies des éditions Tallandier, écrivant sous le pseudonyme de Nell Pierlain.

En 1959, alors qu'il est sur le point de rentrer des vacances de ski avec sa famille, la voiture est percutée par un camion. Son père biologique, Pierre Souchon, meurt sur le coup, alors qu'Alain n'a que quatorze ans.

Élève distrait et rêveur, il a des résultats scolaires calamiteux, si bien qu'il est envoyé à l'âge de quinze ans en pension dans l'École d'horlogerie de Cluses en Haute-Savoie (actuellement lycée Charles-Poncet) où son frère aîné, professeur d'anglais, est aussi guide de montagne. La famille connaît alors des difficultés financières et sa mère doit gagner sa vie en écrivant pour la collection Harlequin. Ne s'intégrant pas au milieu des autres élèves, il se réfugie dans la poésie et finit par se faire renvoyer pour indiscipline. En 1961, sa mère l'envoie dans un lycée français en Angleterre mais arrivé sur place, il se rend compte que sa famille n'a pas les moyens de payer les frais d'inscription. Il convainc alors sa mère de lui permettre de passer le bac par correspondance et reste à Londres où il vit de petits boulots pendant dix-huit mois. C'est notamment en travaillant dans un pub qu'il développe son goût pour la chanson populaire. Il est surnommé le Frenchman. Certaines de ses rencontres lui donnent l'occasion de faire découvrir la chanson française (Georges Brassens, Léo Ferré, Jacques Brel, Guy Béart...) et lui permettent d'écouter le répertoire anglo-saxon. Il évoque ce passage de sa vie dans Londres sur Tamise sur l'album J'ai dix ans, ainsi que dans la chanson Jamais content. Il passe trois fois son baccalauréat par correspondance sans l'obtenir.

En 1971, il est membre de la Sacem (photo d'identité).

De retour en France, il enchaîne les petits boulots et se produit dans des salles parisiennes pour tenter sa chance dans la chanson. En mai 1968, il décide de quitter Paris. À son retour, il rencontre Françoise Villechevrolle qu'il épouse le , et qu'il surnomme Belote (prononcé « Bélote », dérivé de belle). En 1972, il a un fils, Pierre Souchon, qui formera plus tard le groupe Les Cherche Midi avec Julien Voulzy, fils de Laurent Voulzy. La même année, trois 45 tours sont publiés chez Pathé Marconi, mais sont des échecs.

Le début du succès

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Alain Souchon en 1978.

Étranglé par les difficultés financières, il écrit en 1973 la chanson L'Amour 1830 qu'il destine à Frédéric François. Bob Socquet, directeur artistique de RCA Records, l'encourage à l'interpréter lui-même. Celle-ci reçoit un bon accueil et est sélectionnée au concours de la Rose d'or d'Antibes, où Alain remporte le prix spécial de la critique et le prix de la presse.

Dans la foulée, il enregistre un album. Cherchant un arrangeur capable de donner forme à son univers musical, il rencontre en 1974 Laurent Voulzy, également sous contrat chez RCA. Bob Socquet sent que la collaboration entre les deux hommes peut être fructueuse, car les musiques sont le point faible des chansons de Souchon. Souchon et Voulzy seront liés depuis ce jour par leur amitié et leur complémentarité artistique. Laurent Voulzy réalise les arrangements du premier album d'Alain Souchon, (paru sans titre et généralement désigné par le nom du tube J'ai dix ans), puis les musiques de Bidon sorti en 1976.

Cette collaboration va engendrer le succès naissant de ses disques avec des titres comme J'ai dix ans, S'asseoir par terre et Bidon. Alain Souchon (tout comme Michel Jonasz, Jacques Higelin et Yves Simon) est alors la figure de proue de ce que la presse et les spécialistes appellent la « nouvelle chanson française », qu'il évoque ironiquement dans la chanson Nouveau sur l'album Toto 30 ans, rien que du malheur?. L'intéressé lui-même admet qu'il y avait alors une réelle volonté d'écrire différemment, et qu'en cela l'écriture musicale de Laurent Voulzy très pop et rythmiquement exigeante l'a obligé à inventer son propre style, très saccadé, quasiment télégraphique.

Un chanteur « phénomène »

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Alain Souchon en 2013.

Alors que Rockollection, dont il signe le texte pour Laurent Voulzy, est le succès de l'été 1977, Alain Souchon sort son troisième album : Jamais content. Il révèle Souchon sous un jour différent : témoin des difficultés de son époque (La P'tite Bill et Poulaillers' Song), il exprime aussi des émotions personnelles (la dépression, dans Allô maman bobo). Alain Souchon est alors en couverture des magazines, le symbole du Nouveau Père, plus fragile et plus conscient de sa part de féminité - il se moquera également de cette étiquette « nouvel homme » en 1985 dans J'veux du cuir. La mélancolie est déjà à l'?uvre dans Y'a d'la rumba dans l'air, qui, entre l'apogée du disco et l'émergence du punk, apporte un vent de douceur acidulée et obtient un gros succès. Il entame une tournée qui l'amène à assurer la première partie de Jean-Jacques Debout (Olympia), Antoine et Thierry Le Luron.

En 1978, naît son second fils, Charles. Ce dernier, après une carrière de graphiste (il est le créateur des dernières versions du site de son père), se lancera aussi dans la chanson sous le pseudonyme Ours. La même année sort l'album Toto 30 ans, rien que du malheur.... Le mythe du « nouvel homme » se confirme, un homme angoissé par les années qui passent et les kilos qui viennent (Toto 30 ans rien que du malheur? et Papa mambo). Un album résolument plus noir que les précédents, où l'artiste se révèle de plus en plus introspectif (Le Dégoût et J'étais pas là), mais qui n'en oublie pas pour autant la société et ses travers dans Le Bagad de Lann-Bihoué. Y figure également la chanson-titre du film de François Truffaut, L'Amour en fuite, que le réalisateur lui a demandée, l'une des plus appréciées du répertoire de l'auteur.

En 1979 il voit pour la première fois son nom écrit en lettres capitales rouges au fronton de l'Olympia. Puis, en 1980, il publie l'album Rame. La chanson-titre rencontre un succès immédiat auprès du public. La même année, il fait sa première apparition au cinéma devant les caméras de Claude Berri dans Je vous aime aux côtés de Catherine Deneuve, Gérard Depardieu et Serge Gainsbourg. C'est en imaginant la vie comme un film de cinéma que naît Manivelle sur l'album Rame.

D'autres films suivent, comme Le Vol du Sphinx de Laurent Ferrier aux côtés de Miou-Miou et Robin Renucci, ainsi que Tout feu, tout flamme de Jean-Paul Rappeneau et L'Été meurtrier de Jean Becker, deux films où il donnera la réplique à Isabelle Adjani. Il enthousiasme la critique et le public, mais ne se sent pas à l'aise dans ce nouveau costume, et finira par renoncer, au tournant du siècle, à faire carrière dans le 7 art.

En 1983 sort son sixième album : On avance. Il dresse déjà le bilan des années hippies dans Lennon Kaput Valse et se moque de la tension nouvelle des relations Est/Ouest dans Billy m'aime. Laurent Voulzy est moins présent sur cet album et n'y signe qu'une seule musique. Les autres sont composées par Souchon lui-même, Michel Jonasz ? à qui il rend hommage dans le titre Jonasz sur l'album Rame ?, Louis Chedid et Yves Martin, lequel a coproduit l'album. David McNeil met en mots avec Souchon la ville qui a vu sa naissance dans Casablanca, titre nostalgique. Cet album contribue à écorner le mythe du « nouveau père », avec son univers musical décalé (orchestre, cordes, valse?). La même année, il signe des textes pour Laurent Voulzy, pour son album : Bopper en larmes sorti en 1983. Cet album marque un tournant dans la musique de Voulzy qui la rendra plus synthétique et qu'il transmettra dès le prochain album de son compère.

Un artiste reconnu

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Un VariEze similaire à celui du record de la traversée de la Manche.

Sorti en 1985, l'album C'est comme vous voulez marque un changement radical, tant au niveau de la maison de disques (Virgin au lieu de RCA) que de style musical, nettement plus rythmé et synthétique (abordé chez Voulzy dès la chanson Idéal simplifié en 1981 et l'album Bopper en larmes en 1983). L'artiste regrette la lourdeur de la vie citadine (La vie intime est maritime et Pays industriels), se pose en chanteur cynique prêt à tout pour son succès (C'est comme vous voulez), avant de se chercher en vain (Les Jours sans moi). Les radios préfèrent La Ballade de Jim qui évoque pourtant une tentative de suicide. Le clip reçoit la Victoire de la musique du meilleur vidéoclip de l'année 1986, tandis que Belle-Île-en-Mer, Marie-Galante interprétée par son compère reçoit celle de la chanson originale de l'année. Il part en tournée avec Véronique Sanson. En , copilote de Gérard Feldzer sur un avion de construction amateur Rutan VariEze, il participe, en h 24 min, au record du Londres-Paris avec dix litres de carburant. Ce record est homologué par la Fédération aéronautique internationale.

L'album Ultra moderne solitude sort en 1988, en partie enregistré au Royaume-Uni. La chanson-titre, Quand j'serai K.O., est la Victoire de la musique de la meilleure chanson originale de l'année 1990. Elle sort en 45 tours et reste un des standards de l'artiste. Cet album se distingue du précédent en ce qu'il est formellement moins noir, ce qui n'empêche pas Alain Souchon de dénoncer de plus en plus les dysfonctionnements de la société (Les Cadors et Normandie Lusitania) ou de continuer à évoquer ses doutes existentiels (J'attends quelqu'un) et son angoisse du temps qui passe (La Beauté d'Ava Gardner). Il décrit son album comme étant « très strict, austère, un peu monacal. On dirait l'abbaye de Timadeuc, en Bretagne. Tu y vas, tu demandes des fromages à des moines parfaits, très lisses, soixante ans et l'air d'en avoir dix-neuf. ? Et il est fait avec quoi votre fromage ? ? Avec le lait de nos s?urs les vaches ! Voilà : mon disque est fait avec le lait de nos s?urs les vaches ». La tournée qui s'ensuit donne l'album live Nickel qui reçoit la Victoire de la Musique du meilleur album de l'année 1991, de même que Belle Île en Mer, Marie Galante est sacrée « Chanson de la décennie ».

En 1993, l'album C'est déjà ça s'impose comme l'un des meilleurs de sa carrière, porté par Foule sentimentale, chanson emblématique du chanteur qui sera récompensée « Chanson des vingt dernières années » à l'occasion des vingtièmes Victoires de la Musique. La chanson-titre est choisie par Amnesty International pour la représenter. Il célèbre aussi à sa façon Arlette Laguiller dans la chanson du même nom, se détachant toutefois de sa doctrine politique. On note la première collaboration avec son fils Pierre dans la chanson Le fil. À noter également le retour d'arrangements plus centrés autour de la guitare. Une tournée nommée Défoule sentimentale donnera lieu à un album live du même nom qui recevra la Victoire de la musique de l'album de l'année 1996.

De 1994 à 2003, il participe régulièrement aux concerts des Enfoirés pour les Restos du C?ur.

Prenant exemple sur son compère Laurent Voulzy, Alain Souchon réduit sa production et attend 1999 pour sortir l'album Au ras des pâquerettes, titre éponyme, bien que différent, de celui figurant sur le premier album des Cherche Midi de son fils Pierre. Cet album confirme la tendance amorcée depuis un ou deux albums d'un artiste qui raconte le monde qui l'entoure : l'amour contrarié par la vie moderne (Tailler la zone), l'adultère (Le Baiser), la nature polluée et qui s'abîme (Pardon), les sans-abris (Petit Tas tombé, Une guitare, un citoyen). Dans cet album, Alain Souchon évoque également la nostalgie des idoles perdues (C'était menti) et du Paris des artistes remplacés par des boutiques (Rive gauche). Et toujours ce malaise de la vie qu'il exprime dans sa chanson La vie ne vaut rien. Le livret de l'album contient des indications quant à la genèse des différentes chansons qui le composent. La tournée donnera l'occasion de capter, pour la première fois, un de ses concerts au Casino de Paris, qui donnera lieu à un album live et à un DVD intitulé J'veux du live.

Une personnalité multigénérationnelle : dans la cour des grands

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Alain Souchon en concert au festival des Vieilles Charrues en 2010, devant environ 60 000 festivaliers.

Son onzième album, La Vie Théodore, sorti en 2005, rend hommage à Théodore Monod, et narre sa vie dans la chanson éponyme. Encore un peu plus introspectif, Souchon nous rappelle que la société ne lui convient toujours pas (Putain ça penche, En collant l'oreille sur l'appareil), et poursuit son questionnement métaphysique (Et si en plus y'a personne). L'amour est toujours source d'inspiration pour l'auteur (J'aimais mieux quand c'était toi, À cause d'elle, Le Mystère, L'Île du dédain et Lisa). Pierre Souchon participe aux musiques de trois chansons, dont Lisa, aidé par Julien Voulzy, puisque ce titre est en fait une reprise des Cherche Midi). C'est également dans cet album que Souchon chante Bonjour tristesse, chanson dédiée à Françoise Sagan, qu'il reprendra dans une nouvelle version en 2008.

En hiver 2008 sort l'album Écoutez d'où ma peine vient. Au départ, Alain Souchon ne voulait écrire que quelques chansons pour illustrer un documentaire sur sa carrière diffusé sur France 3 Le chanteur d'à côté, mais les chansons qu'il a écrites ont fini par former un album complet. Le titre Parachute doré, inspiré des excès de grands patrons remerciés avec des indemnités indécentes, est distribué en téléchargement gratuit sur son site officiel. Dans ce disque, il dresse un constat d'échec des années Flower Power (Rêveur), analyse les causes de sa mélancolie (Écoutez d'où ma peine vient), parle de l'immigration illégale (Elle danse) et de la délinquance au féminin (m). La seule collaboration avec Laurent Voulzy se fait sur le titre Popopo, chanson démystifiant Che Guevara. Ce titre a été ajouté in extremis, car Souchon ne voulait pas publier l'album sans une collaboration avec son frère de musique Voulzy.

Le sort l'album À cause d'elles, réalisé par Renaud Letang, qui reprend des airs et comptines que sa mère lui chantait quand il était enfant, et dont il reverse sa part de droits discographiques à la Ligue contre le cancer.

Le , Alain Souchon sort Alain Souchon & Laurent Voulzy, un album principalement composé de duos avec Laurent Voulzy.

Alain Souchon en concert au Liberté à Rennes le .

Le sort l'album Âme fifties, dont Alain Souchon avait dévoilé le nom, les dix titres des chansons et les deux chansons le  : Âme fifties et Presque (écrit par Alain Souchon, Édouard Baer et composé par ses deux fils, Charles et Pierre Souchon). Il s'agit de son premier album solo en huit ans et de son premier album original en onze ans.

En , il remporte le trophée de l'Album de l'année aux Victoires de la musique.

Le , il est à l'affiche du concert annuel 2 Générations chantent pour la 3ème à l'Olympia de Paris, organisé par la fondation « Recherche Alzheimer » au profit de la recherche sur la maladie d'Alzheimer.


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  1. ? Encyclopédie des changements de noms, tome II, Emmanuel Ratier, page 409. Le changement de patronyme de Kienast en Souchon est autorisé par décret du 8 avril 1988, ainsi que pour ses fils Pierre (né en 1972) et Charles (né en 1978).
  2. ? Claude Fléouter, Alain Souchon, Michel Lafon, , p. 7
  3. ? Céline Fontana, La chanson française, Hachette pratique, , p. 156.
  4. ? Dictionnaire étonnant des célébrités, de Jean-Louis Beaucarnot et Frédéric Dumoulin, First éditions, 2015, page 303
  5. ? « Alain Souchon », sur rfimusique.com,
  6. ? Pascale Krémer, « Alain Souchon : « Je n'étais pas crédible en séducteur » », Le Monde,‎ (lire en ligne, consulté le )
  7. ? Jacques Lafitte, Stephen Taylor, Who's Who in France, J. Lafitte, , p. 1753.
  8. ? Jacques Pessis, Chronique de la chanson française, Éd. Chronique, , p. 149
  9. ? « Alain Souchon », dans Dictionnaire des Musiciens, Encyclopaedia Universalis, coll. « Les Dictionnaires d'Universalis », (ISBN 2852291401), p. 5064.
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  17. ? « Alain Souchon à propos de son album c'est déjà ça » [vidéo], sur ina.fr
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  19. ? « Un nouvel album pour Alain Souchon »
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  21. ? Nathalie Lacube, « « Âme fifties », un nouvel album pour Alain Souchon », La Croix,‎ (ISSN 0242-6056, lire en ligne, consulté le ).
  22. ? « Voici le palmarès complet des 35 Victoires de la musique, marquées par le sacre de Clara Luciani, Philippe Katerine et Alain Souchon », sur FranceInfo,
  23. ? « 2 Générations Chantent Pour la 3ème Concert Exceptionnell - Xvième Gala », jds.fr,‎ (lire en ligne).
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