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Pierre Rabhi
Pierre Rabhi en 2009
Fonction
Président
Association des amis de Solan (d)
-
Pierre Ronget (d)
Biographie
Naissance
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Kenadsa (Béchar, France)Voir et modifier les données sur Wikidata
Décès
Voir et modifier les données sur Wikidata (à 83 ans)
Bron (Rhône, France)Voir et modifier les données sur Wikidata
Nom de naissance
Rabah RabhiVoir et modifier les données sur Wikidata
Nationalité
françaiseVoir et modifier les données sur Wikidata
Formation
Maison familiale ruraleVoir et modifier les données sur Wikidata
Activités
Essayiste, écrivain, agriculteur, conférencier, écologisteVoir et modifier les données sur Wikidata
Enfant
Sophie Rabhi (d)Voir et modifier les données sur Wikidata
Autres informations
Membre de
Mouvement ColibrisVoir et modifier les données sur Wikidata
Mouvement
Simplicité volontaireVoir et modifier les données sur Wikidata
Influencé par
Gustave Thibon, Jiddu KrishnamurtiVoir et modifier les données sur Wikidata
Site web
Distinction
Cabri d'or pour le livre Du Sahara aux Cévennes (1984)
Prix des sciences sociales du ministère de l'Agriculture pour l'ouvrage L'Offrande au crépuscule (1989)
Médaille Grand Vermeil de la ville de Paris (2017)
Chevalier de la Légion d'honneur (2017)

Pierre Rabhi, de son nom d'origine Rabah Rabhi (???? ????? en arabe), né le à Kenadsa en Algérie française et mort le à Bron en France, est un essayiste, romancier, agriculteur, conférencier et écologiste français, fondateur du mouvement Colibris et « figure représentative du mouvement politique et scientifique de l'agroécologie en France ».

Sa pensée est inspirée par le mouvement anthroposophique, dont il promeut l'application agricole pseudo-scientifique appelée « biodynamie ». Très populaire pour ses appels à penser l'agriculture autrement et sa défense de la sobriété, il est néanmoins critiqué pour ses prétentions en matière de méthodes agriculturales relevant de la superstition, ainsi que pour une certaine proximité avec des penseurs aux idées conservatrices, et pour une « forme d'écologie non politique, spiritualiste et individualiste ».

  1. ? État civil sur le fichier des personnes décédées en France depuis 1970
  2. ? Denise Van Dam, Agroécologie : entre pratiques et sciences sociales, Dijon, Educagri Éditions, , 309 p. (ISBN 978-2-84444-876-7, lire en ligne), p. 308
  3. ? Jean-François Lixon, « Rencontre avec Pierre Rabhi, paysan, écrivain, philosophe », sur culturebox.francetvinfo.fr, (consulté le )
  4. ? Erreur de référence?: Balise <ref> incorrecte?: aucun texte n'a été fourni pour les références nommées Malet082018

Biographie

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Jeunesse

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Pierre Rabhi est né Rabah Rabhi le , dans une famille musulmane de Kenadsa, près de Colomb-Béchar, une oasis dans le sud de l'Algérie. Sa mère meurt de tuberculose alors qu'il est un enfant en bas âge.

Les frères de Pierre Rabhi vivent à Béchar et Kenadsa.

Son père, forgeron, musicien et poète, le confie à l'âge de cinq ans à un couple de Français, un ingénieur gaulliste et une institutrice, venus travailler dans les houillères du sud oranais dans son village natal. Plus tard, selon les déclarations de Pierre Rabhi, son père biologique aurait été contraint de fermer son atelier et de travailler à la mine. Rabhi explique que cela a influencé sa critique du progrès technique.

Avec ses parents d'adoption, le jeune Rabah quitte Kenadsa pour Oran, où il suit deux années d'études secondaires. À l'âge de seize ou dix-sept ans, selon les sources, à Oran, Rabhi se convertit au christianisme. Il demande à être baptisé et adopte son prénom de baptême : Pierre. Selon son récit autobiographique, Rabhi commence alors à travailler dans la dentisterie, puis en tant qu'employé de banque. Lorsque la guerre d'Algérie éclate en 1954, Rabhi affirme suivre les idées de sa famille, hostile à l'Indépendance algérienne et favorable au maintien de l'Algérie française. Pendant la guerre d'Algérie, raconte-t-il, « me voici brandissant mon petit drapeau par la fenêtre de la voiture qui processionne dans la ville en donnant de l'avertisseur : « Al-gé-rie-fran-çai-se » ».

Rabhi a affirmé s'être ensuite trouvé dans une situation de double exclusion, fâché avec son père biologique pour s'être converti au catholicisme, ainsi qu'avec son père d'adoption qui, selon Pierre Rabhi, l'a mis à la porte pour avoir critiqué le maréchal Alphonse Juin. Pierre Rabhi est alors un fervent catholique et le restera durant de longues années, comme il l'affirme dans son autobiographie. En 2016, il indique : « J'ai été très séduit ? et le suis encore ? par le message du Christ. Mais je ne me sens appartenir à aucune église pour autant. À mesure que j'avance dans la vie, l'affirmation que seul l'amour peut changer le cours de l'Histoire me saisit de plus en plus par sa vérité, son évidence. »

S'il déclare ne plus se sentir lié à une religion en particulier, Rabhi demeure un spiritualiste, voire un mystique. Rabhi continue de fréquenter régulièrement les milieux catholiques, voire parfois « des milieux à dérive sectaire », plaçant systématiquement la spiritualité au centre de sa pensée.

Retour à la terre

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En 1950, Rabhi part en France et arrivé à Paris, il trouve un emploi de magasinier chez un constructeur de machines agricoles à Puteaux.

Dans l'entreprise où il travaille, il rencontre Michèle, avec laquelle il se mariera et dont la famille boycotte le mariage. Tous deux nourrissent le rêve de s'extraire de leur vie urbaine et pensent à l'agriculture. Ils rencontrent le docteur Pierre Richard, un médecin écologiste et conservateur partisan du « retour à la terre », qui travaille à la création du parc national des Cévennes, et qui les encourage dans leur démarche et devient l'un des maîtres à penser de Rabhi.

Ils décident de se rendre en Ardèche pour s'y installer définitivement en 1960, précédant le mouvement néorural de la fin des années 1960. Ils se marient à Thines en . Pierre Rabhi devient père et, sans aucune connaissance agricole (il est alors sculpteur), s'inscrit dans une maison familiale rurale. Il achète une ferme cévenole à Lablachère, dans laquelle il réalise son rêve de retour à la terre, la ferme étant dépourvue d'électricité et d'eau courante.

Il rencontre l'écrivain maurrassien Gustave Thibon, poète et philosophe chrétien et conservateur considéré, selon le journaliste Jean-Baptiste Malet, comme « l'une des sources intellectuelles de l'idéologie ruraliste de Vichy » et ayant fait « régulièrement cause commune avec l'extrême droite ». Thibon entretiendra des relations avec Pierre Rabhi jusque dans les années 1990. Rabhi indique à propos de ses relations avec Thibon : « Le portrait qu'en trace M. Malet est caricatural. Les échanges que nous avions portaient essentiellement sur la spiritualité. Nous avions trente-cinq ans d'écart et j'étais impressionné par son immense culture, ses dons linguistiques ou sa mémoire. J'ai le souvenir que, alors que nous étions financièrement exsangues, il nous a aidés, mais on ne peut pas considérer que je sois son disciple ou qu'il fut mon modèle. Hormis notre attachement commun, à l'époque, au catholicisme, nous n'avions pas les mêmes centres d'intérêt ni la même culture. »

Rabhi découvre et adhère également aux idées de Rudolf Steiner, ainsi qu'aux principes de l'anthroposophie, notamment à l'agriculture biodynamique.

Après trois ans comme ouvrier agricole, en 1963 il devient lui-même paysan dans les Cévennes ardéchoises. Il se lance dans l'élevage caprin avec l'intention de ne pas reproduire les modèles de productivisme, et expérimente l'agriculture biodynamique.

Après des débuts difficiles, le couple acquiert assez d'expérience pour accueillir et conseiller à partir de d'autres néo-ruraux. Quinze années leur seront nécessaires pour parvenir à vivre de leur ferme. Pierre Rabhi témoigne en 2015 : « Il y a plus de cinquante ans, ma femme et moi avons choisi notre lieu de vie, Montchamp, précisément pour son harmonie. Perdue au sommet d'une montagne de l'Ardèche, cette ferme nous comblait de silence, d'air pur, de mystère aussi, en dépit des obstacles « objectifs » : il n'y avait ni électricité ni eau courante, un chemin à peine praticable par temps de pluie, un sol sec et rocailleux. »

Reconnaissance

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Sandrine Bélier, Allain Bougrain-Dubourg, Cécile Duflot et Pierre Rabhi aux Journées d'été des Verts à Nîmes en 2009.

En 1978, Pierre Rabhi est chargé de formation en agroécologie par le CEFRA (Centre d'étude et de formation rurales appliquées).

À partir de 1981, il se rend au Burkina Faso en tant que « paysan sans frontières » à la demande du gouvernement de ce pays avec le soutien du Centre de relations internationales entre agriculteurs pour le développement (Criad). En 1985, il crée, avec son ami Maurice Freund, un centre de formation en agroécologie à Gorom-Gorom, avec l'appui de l'association Le Point-Mulhouse, le premier du continent.

En 1986, l'agronome français René Dumont est chargé par l'association d'évaluer le travail de Pierre Rabhi, et se montre très critique avec les méthodes et surtout les croyances appliquées sur place par Pierre Rabhi. Pierre Rabhi aurait bénéficié de l'appui du président Thomas Sankara qui voulait faire de l'agroécologie une politique nationale, avant d'être assassiné en 1987.

En 1988, il fonde le Carrefour international d'échanges de pratiques appliquées au développement (CIEPAD) avec l'appui du conseil général de l'Hérault. Il met en place un « module optimisé d'installation agricole », des programmes de sensibilisation et de formation, et de nombreuses actions de développement à l'étranger (Maroc, Palestine, Algérie, Tunisie, Sénégal, Togo, Bénin, Mauritanie, Pologne, Ukraine?).

En 1992, il lance le programme de réhabilitation de l'oasis de Chenini-Gabès en Tunisie. Depuis 1994, il anime le mouvement Oasis en tous lieux, promouvant le retour à une terre nourricière et la reconstitution du lien social. En parallèle, il publie plusieurs livres, teintés de mysticisme et faisant l'éloge d'une pauvreté vue comme une façon d'aller vers l'essentiel, voire d'accéder au bonheur, dans une lignée encore chrétienne selon le journaliste Jean-Baptiste Malet qui avance que « parce que ça sonne mal » Pierre Rabhi a abandonné par la suite ce terme de pauvreté pour le concept de sobriété heureuse.

La même année, il fonde l'association Les Amis de Pierre Rabhi, rebaptisée en 1994 Terre et Humanisme. Un tiers du budget de l'association « provient des dons tirés des produits financiers « Agir » du Crédit coopératif » (plus 450 000 euros/an). Elle a pour objet la promotion et la transmission de l'agroécologie, et est constituée de quelques fidèles.

En 1997 et 1998, il participe à l'élaboration de la Convention des Nations unies sur la lutte contre la désertification (CLD, ou CNULCD).

De 1999 à 2001, il lance de nouvelles actions de développement au Niger (région d'Agadez) et au Mali (région de Gao).

En 2002, il crée le « Mouvement Appel Pour une Insurrection des Consciences (MAPIC) » afin de se présenter à l'élection présidentielle. Cependant il n'obtient que 184 parrainages d'élus sur les 500 requis.

En 2003, il rencontre Michel Valentin avec qui il crée en 2004 Les Amanins sur la commune de La Roche-sur-Grane, dans la Drôme. Cette infrastructure d'agrotourisme maraîcher qui s'étend sur cinquante-cinq hectares accueille des séminaires d'entreprise, des vacanciers et des personnes en formation au maraîchage. Créée sous forme d'association à but non lucratif, elle compte une quinzaine de salariés aidés par deux à quatre woofers.

Stand de l'association Terre et Humanisme au salon bio Marjolaine en 2016.

Il anime régulièrement des conférences ou des ateliers sur les thèmes de la simplicité volontaire et de la décroissance. Considéré comme artisan de l'altermondialisme, il est invité lors du Forum social européen, et intitule un de ses exposés « Donner une âme à la mondialisation ». Il crée en 2007, avec Isabelle Desplats, Cyril Dion et quelques autres, le mouvement Colibris qui fait suite au MAPIC. La mission du mouvement Colibris est « d'inspirer, relier et soutenir tous ceux qui participent à construire un nouveau projet de société ». Il a fait partie du comité éditorial du mensuel français La Décroissance et est vice-président de l'association Kokopelli qui ?uvre à la protection de la biodiversité (à la production et à la distribution de semences issues de l'agriculture biologique et biodynamique) et à la régénération des sols cultivés.

En 2011, Pierre Rabhi reçoit le prix du développement durable du lycée Champollion de Grenoble. Il participe à l'inauguration d'un jardin portant son nom à Saint-Alexandre dans le Gard, suivie d'une conférence.

En 2012, il rejoint le comité d'honneur de la FLAC (Fédération des luttes pour l'abolition des corridas). Le , il inaugure à Bédarieux (Hérault) un parc public, portant son nom. Le , il cosigne dans le journal Le Monde, avec Susan George et Edgar Morin, une tribune soutenant l'initiative citoyenne européenne « Arrêtons l'écocide en Europe ».

Il est soutenu par plusieurs personnalités, comme l'actrice Marion Cotillard ou l'entrepreneur Jacques-Antoine Granjon. De manière plus générale et bien qu'il s'en défende, Pierre Rabhi est considéré, autant chez certains de ses admirateurs que chez ses détracteurs, comme une sorte de « gourou ». Parmi ses sources d'inspiration importantes, Rabhi mentionne Jiddu Krishnamurti (1895-1986), lequel refusait lui aussi ce qualificatif : « Il m'a amené à comprendre que la connaissance de soi est le socle de toute vraie vie spirituelle. Sinon, on se contente de picorer dans le catalogue des spiritualités et on avance en aveugle. »

Il a créé une fondation qui était sous la tutelle de la Fondation de France. Elle est depuis devenue un fonds de dotation.

Le , il reçoit des mains d'Anne Hidalgo la médaille Grand Vermeil de la ville de Paris.

Pierre Rabhi est soutenu par de nombreux mécènes issus du show-business (comme Mélanie Laurent ou Marion Cotillard) ainsi que par des fortunes aristocratiques (Constance de Polignac, Patrice de Colmont).

Famille

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Pierre Rabhi a cinq enfants : Cécile, Vianney ? ingénieur et inventeur du moteur MCE-5 à compression variable ?, David, Sophie ? fondatrice et directrice de la Ferme des enfants, à Berrias-et-Casteljau en Ardèche ? et Gabriel, né en 1975 ? informaticien.

Mort

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Pierre Rabhi meurt le à Bron des suites d'une hémorragie cérébrale.

Les hommages sont contrastés du fait de certaines de ses prises de positions jugées par certains homophobes et misogynes, et de ses liens avec l'anthroposophie.

  1. ? Rabhi (lire en ligne).
  2. ? [« Autobiographie », par Pierre Rabhi, L'Armagna de la Veillée, 1964].
  3. ? Du Sahara aux Cévennes : itinéraire d'un homme au service de la Terre-Mère, éd. Albin Michel, Paris, 2002.
  4. ? [Élections présidentielles 2002, tract de candidature, Pierre Rabhi, 2002].
  5. ? Sophie des Déserts, « Décroissance et star system : Pierre Rabhi, enquête sur un prophète », sur vanityfair.fr, .
  6. ? « Pierre Rabhi, père nourricier ».
  7. ? Erreur de référence?: Balise <ref> incorrecte?: aucun texte n'a été fourni pour les références nommées Pèlerin2016
  8. ? « Vers la sobriété heureuse : interview exclusive de Pierre Rabhi pour la sortie de son livre ».
  9. ? Erreur de référence?: Balise <ref> incorrecte?: aucun texte n'a été fourni pour les références nommées Le Média
  10. ? « Pierre Rabhi : mort d'un pionnier de l'agroécologie en France », sur oneheart.fr (consulté le )
  11. ? Erreur de référence?: Balise <ref> incorrecte?: aucun texte n'a été fourni pour les références nommées Malet082018
  12. ? Erreur de référence?: Balise <ref> incorrecte?: aucun texte n'a été fourni pour les références nommées DR
  13. ? « ?Nous avons dépoétisé nos sociétés?, Pierre Rabhi, en Ardèche », Télérama,‎ (lire en ligne)
  14. ? « Wikiwix's cache », sur archive.wikiwix.com (consulté le )
  15. ? Biographie sur le site de Terre & Humanisme, terre-humanisme.org.
  16. ? Le Chant du ressac, de Paulette Abbadie Douce, décrit fidèlement le centre de Gorom-Gorom.
  17. ? Erreur de référence?: Balise <ref> incorrecte?: aucun texte n'a été fourni pour les références nommées Dumont
  18. ? Pierre Haski et Sophie Caillat, Il ne suffit pas de manger bio pour changer le monde : conversations avec Pierre Rabhi, Versilio, , 45 p. (ISBN 978-2-36132-059-1, lire en ligne), p. 14
  19. ? « Pierre Rabhi, pionnier de l'agriculture écologique », sur Radio-télévision belge de la Communauté française, (consulté le ).
  20. ? Article du Nouvel Observateur.
  21. ? « Saint-Alexandre accueille un jardin bio dédié à Pierre Rabhi », Midi Libre, .
  22. ? « Extrait conférence Pierre Rabhi du à Saint-Alexandre », sur emergence-liberte.com.
  23. ? « Pierre Rabhi au comité d'honneur de la FLAC ».
  24. ? « Deux jours avec Pierre Rabhi », sur le blog Midi libre de Bédarieux.
  25. ? Voir la tribune « Une initiative citoyenne européenne pour préserver la nature et les générations futures » publiée à l'initiative de Valérie Cabanes, juriste en droit international, et Georges Menahem, sociologue et économiste, et cosignée également par Dominique Bourg, philosophe ; Philippe Desbrosses, philosophe et agroécologiste ; Jean Gadrey, économiste ; Susan George (écrivain), Dominique Méda, philosophe et sociologue ; Edgar Morin, sociologue et philosophe ; René Passet, économiste ; Jean-Marie Pelt et Jacques Testart, tous deux biologistes ; et Patrick Viveret, philosophe.
  26. ? « Anne Hidalgo remet la médaille Grand Vermeil de la Ville de Paris à Pierre Rabhi », sur presse.paris.fr (consulté le ).
  27. ? « Vianney Rabhi a conçu un moteur superéconome » sur le site Métro consulté le .
  28. ? Colonie de vacances et école à la pédagogie proche des méthodes Steiner et Montessori.
  29. ? « L'équipe pédagogique », sur la-ferme-des-enfants.com (consulté le ).
  30. ? « Blog de Gabriel Rabhi », sur inter-agir.fr (consulté le ).
  31. ? « Pierre Rabhi, écrivain et figure de l'agroécologie, est mort », Le Monde, (consulté le ).
  32. ? « Pierre Rabhi, figure de l'agroécologie, est mort », Ouest-France, (consulté le ).
  33. ? « Pierre Rabhi, écrivain et figure de l'agroécologie, est décédé », Le Progrès, (consulté le )
  34. ? « Décès de Pierre Rabhi, pionnier et influente figure de la pensée écologiste », sur LCI (consulté le )
  35. ? « Disparition de Pierre Rabhi : la gauche embarrassée », Le Figaro, (consulté le )
  36. ? « Pourquoi les hommages à Pierre Rabhi ne font pas l'unanimité », sur Le HuffPost, (consulté le )


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