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Axel Kahn
Axel Kahn en 2015.
Fonctions
Président
Ligue nationale contre le cancer
-
Jacqueline Godet (d)
Daniel Nizri
Président
Comité consultatif commun d'éthique Inrae-Cirad-Ifremer-Ird (d)
-
Louis Schweitzer
Président
Parisbiotech Santé
-
Président d'université
Université Paris-Descartes
-
Jean-François Dhainaut
Frédéric Dardel
Vice-président
Commission de génie génétique
-
Président
Commission du génie biomoléculaire
-
Marc Fellous
Rédacteur en chef
Médecine/sciences
-
Biographie
Naissance
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Le Petit-Pressigny (Indre-et-Loire, France)Voir et modifier les données sur Wikidata
Décès
Voir et modifier les données sur Wikidata (à 76 ans)
15e arrondissement de ParisVoir et modifier les données sur Wikidata
Sépulture
Cimetière de Mussy-sur-Seine (d)Voir et modifier les données sur Wikidata
Nom de naissance
Axel Maurice René KahnVoir et modifier les données sur Wikidata
Nationalité
françaiseVoir et modifier les données sur Wikidata
Formation
Université Paris-Diderot (doctorat) (jusqu'en )
Lycée Buffon (concours général et baccalauréat)Voir et modifier les données sur Wikidata
Activités
Biologiste, vulgarisateur scientifique, médecin, professeur d'université, généticien, homme politique, chercheurVoir et modifier les données sur Wikidata
Père
Jean Kahn-DessertenneVoir et modifier les données sur Wikidata
Fratrie
Jean-François Kahn
Olivier KahnVoir et modifier les données sur Wikidata
Conjoint
Viviane Seillon
Pascale Briand
Autres informations
A travaillé pour
Institut national de la santé et de la recherche médicale
Université Paris-Descartes
Ligue nationale contre le cancerVoir et modifier les données sur Wikidata
Partis politiques
Parti communiste français (jusqu'en )
Parti socialiste (-)Voir et modifier les données sur Wikidata
Membre de
Académie des sciences ()
Comité consultatif national d'éthique (-)Voir et modifier les données sur Wikidata
Directeur de thèse
Pierre Boivin (d)Voir et modifier les données sur Wikidata
Site web
Distinctions
Liste détaillée
Concours général ()
Médaille d'argent du CNRS ()
Grande médaille de la francophonie ()
Grand prix de la francophonie ()
Docteur honoris causa de l'Université Laval ()
Docteur honoris causa de l'université de Liège
Docteur honoris causa de l'université catholique de Louvain
Docteur honoris causa de l'université de Sherbrooke
Officier du Mérite agricole
Docteur honoris causa de l'Université de Montréal
Commandeur de l'ordre national du Mérite
Chevalier des Arts et des Lettres
Officier de la Légion d'honneur?Voir et modifier les données sur Wikidata

Axel Kahn, né le au Petit-Pressigny (Indre-et-Loire) et mort le à Paris 15, est un scientifique, médecin généticien et essayiste français. Directeur de recherche à l'Inserm et ancien directeur de l'Institut Cochin, il préside l'université Paris-Descartes de 2007 à 2011 puis la Ligue nationale contre le cancer de 2019 à 2021.

Il est surtout connu du grand public pour ses actions de vulgarisation scientifique et ses prises de positions sur des questions éthiques et philosophiques ayant trait à la médecine et aux biotechnologies ? notamment le clonage et les OGM ? en particulier dans le cadre de son travail au sein du Comité consultatif national d'éthique (CCNE) de 1992 à 2004.

Biographie

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Enfance et formation

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Axel Maurice René Kahn naît le au Petit-Pressigny (Indre-et-Loire). Il est le fils du philosophe Jean Kahn-Dessertenne (1916-1970) d'origine juive alsacienne par son père et de Camille Ferriot (1914-2005), fervente catholique originaire de Mussy-sur-Seine (Aube). Le second mari d'une de ses arrière-grands-mères, Jacques Maurice Dessertenne, était un peintre reconnu qui illustra notamment plusieurs éditions de l'encyclopédie Larousse.

Il est le frère du journaliste Jean-François Kahn (1938-2025) et du chimiste Olivier Kahn (1942-1999).

Il passe les premières années de sa vie aux bons soins de sa nourrice Léontine Moreau dans le village du Petit-Pressigny. Après cette prime enfance campagnarde, on lui fait rejoindre, en 1949, sa famille rue des Plantes à Paris où son père dirige l'école privée Godéchoux. Ses parents se séparent en 1954 et Axel reste avec sa mère et son frère Olivier. En 1957, sa mère fait une rechute de tuberculose et se fait soigner une année durant dans un sanatorium. Axel est envoyé en pension à Saint-Germain-en-Laye dans les Yvelines.

Après avoir été louveteau à cinq ans, il est enfant de ch?ur et entre chez les Scouts de France, où il est victime de pédophilie par un chef scout et un prêtre.

Très attiré par la religion catholique au point d'envisager un temps d'entrer dans les ordres, il perd la foi alors qu'il est pensionnaire en classe de seconde à Pontlevoy près de Blois (Loir-et-Cher) dans un lycée jésuite mais reste attaché aux valeurs chrétiennes. Entreprenant des recherches généalogiques, il prend conscience de ses origines juives et découvre le racisme.

Axel Kahn entre en classe de première au lycée Buffon à Paris. Comme son père l'avait fait dans sa jeunesse, il s'engage à cette époque auprès du Parti communiste et devient, en 1961, secrétaire des jeunesses communistes du lycée. Après un prix au concours général, puis le baccalauréat qu'il obtient avec mention, il fait des études de médecine et devient interne des Hôpitaux de Paris à l'hôpital Lariboisière notamment.

En 1967-1968, durant son service militaire dans le cadre de la coopération, il est médecin-chef dans la préfecture de Haute-Kotto en République centrafricaine.

Vie de famille

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Le , son père se suicide en laissant, à lui seul plus jeune garçon de sa fratrie, un message : « [?] au plus capable de faire durement les choses nécessaires, [?] sois raisonnable et humain [?] », événement qu'il considère comme ayant eu une grande importance dans sa vie. En 2004, il fera encore de cette injonction le titre d'un de ses ouvrages.

Axel Kahn est le père de trois enfants issus de son premier mariage en 1969 avec Viviane Seillon. Il épouse en deuxièmes noces, le dans le 15 arrondissement de Paris, Pascale Briand, une chercheuse scientifique française ; ils se séparent en juin de la même année.

Parcours scientifique

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Axel Kahn est docteur en médecine avec une spécialité en hématologie (1974) et docteur ès sciences (1976). Il devient chercheur à l'Inserm avec une spécialisation en biochimie et intègre en tant que chargé de recherches, en 1976, le groupe de Jean-Claude Dreyfus au sein de l'Institut de pathologie moléculaire de l'hôpital Cochin créé en 1969 et dirigé par Georges Schapira, qui formera le c?ur du futur Institut Cochin.

Il effectue l'ensemble de sa carrière de chercheur à l'Inserm, devenant directeur de recherche de seconde classe en 1978, de première classe en 1988, puis de classe exceptionnelle en 1993. En parallèle de ses activités de recherche, il exerce la médecine jusqu'en 1992, notamment à l'hôpital Beaujon.

Il est également membre fondateur et le rédacteur en chef, de 1986 à 1997, de la revue scientifique franco-québécoise Médecine/sciences.

Travaux de recherche

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Structure moléculaire de la pyruvate kinase.

Ses travaux portent sur la génétique moléculaire appliquée à l'étude de maladies héréditaires, notamment hématologiques, et à celle des mécanismes de la différenciation et de la régulation de l'expression des gènes. Il est l'auteur avec ses équipes de plus de 450 articles parus dans des revues scientifiques de premier plan.

Dans la continuité de sa thèse de doctorat consacrée en 1976 aux déficits en glucose-6-phosphate déshydrogénase, il développe des recherches en enzymologie, s'intéressant en particulier aux anomalies biochimiques à l'origine des anémies liées aux déficits en enzymes telles que la phosphofructo-kinase, la phosphoglycérate kinase, et la pyruvate kinase dont il est un spécialiste. Ses résultats d'enzymologie lui permettent de mettre en évidence le caractère monoclonal de la splénomégalie myéloïde. Il démontre également que la pyruvate kinase, enzyme des globules rouges et du foie, peut être codée par le même gène sous le contrôle de deux promoteurs distincts.

À la fin des années 1970, Axel Kahn commence à s'intéresser au génie génétique pour étudier la synthèse des enzymes mutés. Après avoir cloné l'ADN complémentaire et le gène de la pyruvate kinase, Axel Kahn et son équipe contribuent de manière significative à la compréhension de la régulation de ce gène par le glucose. En collaboration avec l'unité Inserm 293 de Nathalie Josso, il dirige l'équipe qui clone l'ADN complémentaire et le gène de l'hormone antimüllérienne. Avec Jamel Chelly, il met en évidence le mécanisme de la transcription illégitime dans lequel n'importe quel gène peut être transcrit dans n'importe quel type de cellule.

Il s'oriente dans les années 1990 vers la thérapie génique en dirigeant des équipes de recherche qui étudient les possibilités thérapeutiques du transfert de gènes. Elles montrent, en 1993, l'efficacité d'une thérapie génique locale sur la souris pour la myopathie de Duchenne. Dans le même temps, les travaux du groupe emmené par Livia Poenaru établissent la possibilité du transfert de gènes dans les cellules du cerveau. Cette méthode sera utilisée pour tenter de traiter la dégénérescence moto-neuronale chez la souris. Une autre équipe évalue quant à elle la possibilité de repeupler le foie de la souris grâce au transfert d'hépatocytes résistants à l'apoptose. Avec Christine Perret-Mayeux, il dirige les travaux qui démontrent, en 1998, l'importance des mutations du gène codant la ?-caténine dans les carcinomes hépatocellulaires chez la souris et chez l'homme.

Enfin en 2001, l'équipe de Sophie Vaulont, qu'il supervise, découvre en même temps que l'équipe de l'unité Inserm 522 dirigée par Christiane Guillouzo l'implication de l'hepcidine dans le métabolisme du fer. Son groupe identifie par la suite les mécanismes d'action de cette nouvelle hormone.

Conseils et expertise

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Axel Kahn préside de 1988 à 1997 la Commission du génie biomoléculaire auprès du ministère de l'Agriculture et de la Pêche, chargée d'évaluer les risques liés à l'utilisation de PGM, plantes génétiquement modifiées. Ardent défenseur des applications agricoles de la génétique qu'il qualifie « d'industrie aux promesses prodigieuses ». Il quitte la présidence de la Commission du génie biomoléculaire début 1997 lorsque le gouvernement français interdit la culture du maïs transgénique en France. Il est ensuite nommé directeur scientifique adjoint pour les sciences de la vie de la société Rhône-Poulenc de 1997 à 1999, ce qui aux yeux de certains lui fait perdre en crédibilité dans le débat sur les OGM, car cette compagnie en était l'acteur français le plus important.

Il est membre du Comité consultatif national d'éthique (CCNE) de 1992 à 2004, et en a présidé la section technique de 1992 à 1994. Il s'est notamment déclaré hostile au clonage thérapeutique, au motif qu'il « attenterait à la dignité humaine ».

Au niveau de la Commission européenne, il est nommé président du Groupe d'experts de haut niveau pour les Sciences de la Vie (un organe de conseil sur les biosciences et les biotechnologies) de 2000 à 2002 par le commissaire européen chargé de la recherche Philippe Busquin.

Il est également membre en 1998 du conseil scientifique de l'Office parlementaire d'évaluation des choix scientifiques et technologiques (OPECST).

Axel Kahn est nommé, en Conseil des ministres en , membre de la commission présidée par Simone Veil, pour la révision du préambule de la Constitution française de 1958. Il rejoint en 2014, le Comité de déontologie du Comité national olympique et sportif français. Il succède en à Louis Schweitzer en tant que président du Comité consultatif commun d'éthique de l'INRA (devenu INRAE) et du CIRAD élargi à l'IFREMER et l'IRD (C3E4).

Parcours administratif

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Institut Cochin

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L'Institut Cochin, rue Méchain à Paris.

Axel Kahn termine son internat en hématologie à l'hôpital Beaujon au sein de l'unité Inserm 24, « Physiopathologie hépatique », dans l'équipe de Pierre Boivin. Il devient chargé de recherches en 1974, puis intègre en 1976, l'unité Inserm 129, « Enzymologie pathologique », dirigée par Jean-Claude Dreyfus, et située rue du Faubourg-Saint-Jacques sur le campus de l'hôpital Cochin. Après le départ à la retraite de ce dernier en 1984, Axel Kahn prend la tête de l'unité Inserm 129 devenue un laboratoire de génétique moléculaire, réorganisée sous le nom « Recherche de génétique et pathologie moléculaires ». Elle compte en 1986 plus de cinquante personnes travaillant dans cinq équipes de recherche. Axel Kahn est le responsable scientifique de trois d'entre elles. En 1998, l'unité 129 renommée « Recherche en physiologie et pathologie génétiques et moléculaires » est composée de plus de 80 personnes réparties dans sept équipes de recherche. Axel Kahn la dirige jusqu'en 2002.

L'Institut Cochin de génétique moléculaire (ICGM) est créé en 1990 rue Méchain sous l'impulsion de Jean-Paul Levy et avec le soutien d'Axel Kahn. Il s'agit d'un institut fédératif qui met en commun les ressources de plusieurs unités de recherche dont l'unité 152 de Jean-Paul Levy et l'unité 129 d'Axel Kahn. L'Institut Cochin est créé le sur les bases de l'ICGM en fusionnant les unités de recherche qu'il associait et en agglomérant d'autres. Ce nouvel ensemble est un centre intégré de recherche biomédicale pluridisciplinaire placé sous la triple tutelle de l'Inserm, du CNRS et de l'université Paris Descartes. Il compte à sa création près de 550 personnes dont 190 chercheurs, travaillant dans 43 équipes de recherche regroupées en six départements. Axel Kahn, qui en est à l'origine, en est le premier directeur jusqu'en 2007. Il prend également la direction de l'Institut fédératif de recherche Alfred-Jost (IFR 116) dont l'Institut Cochin constitue la plus grande partie.

En 2004, comme quelques personnalités de l'Institut Cochin, il soutient très activement le mouvement des chercheurs Sauvons la recherche.

Université Paris Descartes

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L'université Paris-Descartes, rue de l'École-de-Médecine à Paris.

Axel Kahn se porte candidat à la présidence de l'université Paris-Descartes en . Il est élu le par le Conseil d'administration. Il a précisé ses objectifs et sa vision de la loi Pécresse sur l'autonomie des universités dans un entretien au journal Le Point. Il a néanmoins apporté son soutien à l'Academic Pride. Le , il est élu président de la commission recherche de la Conférence des présidents d'université (CPU). Son mandat de président de l'université Paris-Descartes prend fin le . Atteint par la limite d'âge, il ne se présente pas à sa propre succession. Il est depuis président honoraire de l'université.

Axel Kahn a pris position en faveur de la réforme sur l'autonomie des universités (mettant jusqu'à sa présidence de Paris-Descartes en jeu) ainsi qu'en faveur du décret sur les universitaires, qui suscite l'opposition d'un nombre important d'enseignants-chercheurs en 2009. Il s'est toutefois désolidarisé du président Nicolas Sarkozy qui, lors d'une émission télévisée le , s'est réclamé de son soutien « comme personnalité de gauche ». Le dans une interview sur Europe 1, Axel Kahn a refusé d'être « pris en otage », a reproché au président ses propos méprisants et blessants sur les chercheurs tenus à l'Élysée le et lui a déclaré que, dans ces circonstances, sa réforme « maintenant mal emmanchée » ne passerait pas. Une semaine plus tard, il déclare la nouvelle version du décret « acceptable » tout en affirmant qu'il « serait inacceptable de compenser par des surcharges de service le manque d'enseignants-chercheurs ».

Maladie et mort

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Collégiale Saint-Pierre-ès-Liens à Mussy-sur-Seine

Il lui est diagnostiqué un cancer avec des atteintes osseuses en . En , après une première rémission, il s'avère atteint d'un cancer généralisé. Il s'exprime à ce sujet sur plusieurs médias pour expliquer et témoigner de sa future disparition. Notamment, dans un entretien à France Inter le , il déclare avoir fait ses adieux à ses proches et entrer à l'hôpital le . Deux jours plus tard, le , il publie un texte d'adieu sur Facebook. Il donne également un entretien à L'Obs et à La Croix. Il publie sur son blog les pensées qui l'animent alors qu'il sait qu'il ne lui reste que quelques jours à vivre. Il quitte la présidence de la Ligue nationale contre le cancer le , qui est alors assurée par Daniel Nizri, l'un des trois vice-présidents.

Il meurt le dans le 15 arrondissement de Paris, à l'âge de 76 ans, des suites de son cancer. Après des obsèques à la collégiale du village, il est inhumé au cimetière de Mussy-sur-Seine, dans l'Aube, où la famille possède une maison.

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