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Franz Kafka
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Franz Kafka en 1923.
Naissance
Prague, Bohême (Autriche-Hongrie)
Décès (à 40 ans)
Kierling, Basse-Autriche (Autriche)
Activité principale
Romancier, nouvelliste
Auteur
Langue d'écriture allemand
Mouvement modernisme
Genres
roman, nouvelle
Adjectifs dérivés « kafkaïen »

?uvres principales

  • La Métamorphose (1915)
  • La Colonie pénitentiaire (1919)
  • Le Procès (1925)
  • Le Château (1926)
  • L'Amérique (1927)
Signature de Franz Kafka

Franz Kafka (en allemand : /?f?ant?s ?kafka/, Son Écouter [Fiche]), né le à Prague et mort le à Kierling, est un écrivain austro-hongrois de langue allemande. Il est considéré comme l'un des écrivains majeurs du XX siècle.

Surtout connu pour ses romans Le Procès (Der Prozeß), L'Amérique (Amerika) et Le Château (Das Schloß), ainsi que pour les nouvelles La Métamorphose (Die Verwandlung) et La Colonie pénitentiaire (In der Strafkolonie), Franz Kafka laisse cependant une ?uvre plus vaste, caractérisée par une atmosphère cauchemardesque, sinistre, où la bureaucratie et la société impersonnelle ont de plus en plus de prise sur l'individu. Hendrik Marsman décrit cette atmosphère comme une « objectivité extrêmement étrange ».

L'?uvre de Kafka, dans laquelle est mis en relief le problème du langage à nommer justement les choses, est vue comme symbole de l'homme déraciné des temps modernes. D'aucuns pensent cependant qu'elle est uniquement une tentative, dans un combat apparent avec les « forces supérieures », de rendre l'initiative à l'individu, qui fait ses choix lui-même et en est responsable.


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  1. ? Prononciation en allemand standard retranscrite selon la norme API.
  2. ? Cf. Série « Un homme, une ville : Kafka à Prague », Épisode 1/3 : « Qu'est-ce que Prague ? », France Culture, avec Milan Kundera, à partir de 25 minutes.
  3. ? Corinna Gepner, avant-propos de La Métamorphose aux éditions Bréal (coll. « Connaissance d'une ?uvre »), paru en 2004.
  4. ? (de) Hendrik Marsman, Prose critique, Amsterdam, Querido, (lire en ligne), p. 534.
  5. ? Équipe de recherche Fabula, « Maurice Blanchot lecteur de Franz Kafka : un entretien infini (Paris Nanterre) », sur fabula.org, (consulté le ).
  6. ? Rob Schouten (2005), « Ontworteld en dolend. De moderne mens volgens Franz Kafka », dans Trouw, .
  7. ? Herman Verhaar (1975), Franz Kafka of Schrijven uit onmacht. Amsterdam, Wetenschappelijke Uitgeverij BV.

Biographie

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Famille et jeunesse

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Franz Kafka bébé, vers 1884.

Franz Kafka naît en 1883 à Josefov dans le quartier juif de la ville de Prague, alors capitale de la province de Bohême, qui fait partie de l'Empire austro-hongrois. Son nom de famille Kafka veut dire choucas en tchèque (kavka). Il est le fils de Hermann Kafka (de) (1852-1931) et de Julie Kafka, née Löwy (1856-1934), issue d'une riche famille de Pod?brady. Son grand-père paternel, Jacob Kafka, est venu d'Osek, une ville de province tchèque, pour installer à Prague un petit commerce.

Les s?urs Gabriele (Elli), Valerie (Valli) et Ottilie (Ottla) Kafka, 1898.

Franz Kafka a deux frères, Georg et Heinrich, morts en bas âge, et trois s?urs plus jeunes, Gabriele (Elli) (de) (1889-1942), Valerie (Valli) (de) (1890-1942) et Ottilie (Ottla) (1892-1943), qui, lors de la Seconde Guerre mondiale, sont déportées au ghetto de ?ód?. Elli et Valli sont probablement assassinées à Che?mno au cours de l'automne 1942. Ottla meurt à Auschwitz en septembre 1943.

Photo de studio. Kafka, âgé de quatre à six ans, « affublé d'un habit d'enfant étriqué, presque humiliant, chargé de passementeries, s'y tient dans une sorte de décor figurant un jardin d'hiver [...] Sûrement disparaîtrait-il dans cette mise en scène, si ses yeux, d'une incommensurable tristesse, ne dominaient ce paysage composé pour eux ».

Kafka a une enfance solitaire. Sa langue maternelle est l'allemand, comme pour près de 10 % de la population de Prague à l'époque. Les Kafka sont juifs. Kafka lui-même et ses biographes décrivent son père, qui a des relations difficiles avec son fils, comme dominant et prétentieux. Kafka l'évoquera plus tard dans Der Geier (Le Vautour) sous la figure d'un vautour. Bien qu'il n'ait pas un rapport intense avec sa mère, laquelle porte le deuil de deux de ses frères plutôt que s'intéresser à lui, il s'identifie fortement avec la famille de celle-ci, réputée intellectuelle et spirituelle, contrairement à celle de son père, commerçante.

La maison "à la Minute", la résidence de Kafka à Prague sur la place de la Vieille-Ville, de 1889 à 1896.

Entre 1889 et 1893, il suit l'école primaire au Fleischmarkt (aujourd'hui sur la rue Masná) à Prague, où il se montre bon élève. Son éducation juive se limite à la célébration de sa Bar Mitsva à l'âge de treize ans et à sa participation quatre fois par an aux services de la synagogue.

Franz Kafka élève, avant 1900.

Après l'enseignement primaire, il est admis au collège d'État à Prague, le Altstädter deutsches Gymnasium germanophone. Il finit son éducation en 1901. Très tôt, il s'intéresse à la littérature (ses premiers écrits ont disparu, probablement détruits par Kafka lui-même) et aux idées socialistes. Ses amis sont alors Rudolf Illowy, Hugo Bergmann, Ewald Felix Pribram, ou encore Oskar Pollak (en). Il passe ses vacances à la campagne, chez son oncle Siegfried, un médecin de Triesch.

Carrière

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Après son baccalauréat (1901), Kafka voyage à Norderney et Heligoland. En automne, il commence ses études à l'université Charles de Prague. Après deux semaines de cours en chimie, Kafka décide d'étudier le droit. Il suit cependant aussi des cours de germanistique et d'histoire de l'art. Il voyage un peu. Il se joint au Lese- und Redehalle der deutschen Studenten, une association étudiante qui, parmi d'autres choses, organise des événements et des présentations littéraires.

En 1901, il fait la connaissance du poète Max Brod, qui sera son ami le plus influent et publiera la plus grande partie de son ?uvre après sa mort. En 1906, il est reçu docteur en droit chez le professeur Alfred Weber et fait un stage d'un an, en service civil, au tribunal de Prague. En 1909, il publie ses premiers essais de prose dans le magazine munichois Hyperion.

Le , il entre au service de Assicurazioni Generali une compagnie d'assurances commerciale autrichienne avant 1919. Après n'y avoir travaillé que neuf mois, il en démissionne le parce que, d'après ses dires, les longues heures de travail l'empêchent d'exercer sa grande passion, l'écriture. Deux semaines plus tard, il entre au service de l'Arbeiter-Unfall-Versicherungs-Anstalt für das Königreich Böhmen (Institution d'assurance pour les accidents des travailleurs du royaume de Bohême), où il travaille jusqu'à sa retraite prématurée en 1922. Bien qu'il qualifie péjorativement son travail de « gagne-pain », ses prestations sont évaluées très positivement par son employeur, ainsi qu'en témoignent ses promotions dans sa carrière. Il a pour tâche la limitation des risques de sécurité encourus par les ouvriers qui doivent travailler sur des machines souvent dangereuses à l'époque ; c'est dans ce but qu'il se rend dans des usines et qu'il écrit des manuels d'information. Il est, de plus, responsable de la classification des usines dans des groupes de risques. Le fait qu'il ait à contester des demandes d'indemnisation lui donne parfois mauvaise conscience, mais l'entreprise lui laisse souvent la possibilité d'être conciliant avec les victimes, parfois blessées et handicapées à vie.

En septembre 1909, alors en vacances à Riva del Garda avec Otto et Max Brod, il apprend par la Bohemia que le premier meeting aérien international en Italie va avoir lieu à Montichiari, et décide de s'y rendre avec les Brod, car aucun d'eux n'avait encore jamais vu d'aéroplane. Franz Kafka y consacre un reportage, et, dans une version abrégée, son texte intitulé Aéroplanes à Brescia a été publié dans le n 269 de Bohemia.

Entre 1909 et 1912, il fréquente les cercles anarchistes de Prague. On peut voir une influence de la pensée anarchiste de Kafka dans plusieurs de ses écrits, La Colonie Pénitentiaire ou Le Procès.

À côté de son travail pour la société d'assurance, Kafka continue d'écrire, et il suit pour ce faire un programme journalier particulier ; le matin, il travaille au bureau, à midi, il va dormir quelques heures, ensuite il va se promener, manger avec des amis ou sa famille, pour se mettre à écrire le soir, une activité qu'il continue jusque tard dans la nuit. C'est pendant l'une de ces nuits que, « comme ivre », il rédige le récit Das Urteil (Le Verdict).

Relations

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Statue en bronze à l'effigie de Kafka, du sculpteur Jaroslav Róna en 2003, inspirée par sa nouvelle Description d'un combat (Beschreibung eines Kampfes), et située rue Du?ní, devant la synagogue espagnole (Prague).

Ses amis proches sont Max Brod, le philosophe Felix Weltsch, le sioniste Hugo Bergmann et le pianiste Oskar Baum.

Felice Bauer et Franz Kafka.

Kafka entretient des relations compliquées avec les femmes. En 1912, dans la maison de Max Brod, il rencontre la Berlinoise Felice Bauer (1887-1960), représentante d'une firme de dictaphones. Durant les cinq années qui suivent, une correspondance intense se développe entre Kafka et Felice. Ils se rencontrent de temps à autre, ce qui aboutit deux fois à des fiançailles. Du côté de Kafka, il s'agit surtout d'un amour platonique, qu'il entretient principalement par ses lettres. Petit à petit, il se rend compte à quel point une vie maritale traditionnelle est impossible avec Felice, beaucoup plus terre à terre, surtout avec sa tendance à s'enfermer dans son bureau ; cela conduit à la fin de leur relation en 1917.

En 1919, Kafka se fiance avec Julie Wohryzek (de) (1891-1944), une secrétaire de Prague, mais le père de Franz s'oppose fortement à cette relation. Elle se termine la même année ? d'après ce que l'on sait, à l'initiative de Julie ?, mais le conflit fait que Kafka adopte une position encore plus antagonique à l'égard de son père, qui aurait bien vu son fils lui succéder dans son entreprise commerciale, et écrit la Lettre au père, sans la lui transmettre.

Au début des années 1920, une relation de courte durée, mais très intense, se développe entre Kafka et la journaliste et écrivaine anarchiste tchèque Milena Jesenská (1896-1944). De toutes les femmes de sa vie ? il eut encore diverses liaisons ?, Milena a peut-être le mieux compris cet écrivain hypersensible et, au moins lors de leurs rares rencontres, elle l'aide à surmonter ses craintes. Mais finalement, il se sent mal à l'aise avec cette artiste flamboyante.

En 1923, il part pour quelque temps à Berlin, espérant pouvoir mieux se concentrer sur l'écriture, loin de l'ingérence de sa famille. C'est à cette époque qu'il rencontre Dora Diamant (1898-1952), une institutrice de maternelle âgée de vingt-cinq ans, originaire d'une famille orthodoxe juive polonaise. Dora devient la compagne de Kafka à Berlin et exerce une influence sur son intérêt croissant pour le Talmud. C'est auprès d'elle qu'il goûte finalement un peu de bonheur conjugal, alors qu'il ne le croyait plus possible. Ensemble, ils envisagent d'émigrer en Palestine. Sioniste convaincu ? il apprend alors l'hébreu ? il avait vu la haine grandir contre les Allemands et les Juifs (« Juifs et Allemands sont des exclus »). C'est à cette époque que Kafka « se fait le défenseur d'un humanisme libéral ».

L'hypothèse de son homosexualité a été avancée mais il est plutôt considéré aujourd'hui comme ayant essentiellement une relation compliquée avec les femmes et la sexualité en général. La nature amoureuse ou exclusivement amicale de ses relations avec Oskar Pollak (en) reste un sujet de débat.

Santé

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En , il commence à cracher régulièrement du sang et on pose le diagnostic de tuberculose. Cela conduit à une plainte de nature presque obsessionnelle dans ses lettres à Felice, et l'utilisation de sa maladie comme raison pour rompre ses fiançailles. Mais il voit aussi son statut d'écrivain comme un handicap pour une vie de famille « normale », ce qui serait devenu un énorme problème avec une Felice moins intellectuelle et plus débordante de vie.

Kafka, qui montre des signes d'hypocondrie, souffre, ainsi qu'on le pense maintenant, de dépression clinique et de phobie sociale, mais présente aussi des phénomènes vraisemblablement liés au stress, tels que des migraines, insomnies, constipations et furoncles, et manifeste des tics physiques parfois considérés comme caractéristiques du syndrome de Gilles de La Tourette. Il se méfie de la médecine usuelle et essaye de combattre ses maux avec des cures naturopathes, un régime végétarien et en buvant du lait non pasteurisé. Il profite de ses vacances pour suivre des cures de repos dans des sanatoriums, pour lesquelles son employeur lui octroie souvent des congés exceptionnels. En 1922, l'écrivain part en préretraite, à cause de son état général de santé déficient.

La tombe de Franz Kafka , à Prague, au nouveau cimetière juif (Nový ?idovský h?bitov).

Bien que la situation personnelle de Kafka se soit fortement améliorée après son déménagement à Berlin, et qu'il écrive à nouveau beaucoup, l'hiver marqué par l'inflation de 1923-1924 à Berlin se révèle à nouveau funeste pour sa santé déjà chancelante. Les biens de consommation essentiels se font rares et il doit en faire venir de Prague ; de plus, le froid dans le logement mal chauffé n'est pas favorable à sa guérison. Lorsqu'en , Brod vient lui rendre visite, l'état de Kafka s'est à ce point aggravé que son ami l'emmène avec lui à Prague ; en avril, on lui diagnostique une tuberculose du larynx.

Il est alors clair que Kafka n'en a plus pour longtemps car on ne dispose pas à cette époque de médicaments efficaces contre la tuberculose, si bien que l'écrivain s'alimente de plus en plus difficilement. Cet état présente des traits communs avec le personnage de Gregor Samsa dans La Métamorphose, et le personnage principal de sa nouvelle Un artiste de la faim (Hungerkünstler). Dans les derniers mois, il est soutenu par son médecin et ami, le jeune Robert Klopstock (d) Voir avec Reasonator, qui dirige les soins médicaux de Kafka au sanatorium de Matliary, mais la seule aide qui peut encore être apportée au patient consiste en des analgésiques.

Kafka est admis au sanatorium de Kierling, près de Vienne, où il meurt à l'âge de 40 ans le , vraisemblablement de malnutrition ainsi que de tuberculose, Dora Diamant à ses côtés. Son corps est ramené à Prague, où il est enterré le dans le nouveau cimetière juif du quartier de ?i?kov (Prague-Strachnitz).

Le métier d'écrivain

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Kafka considère l'écriture comme une nécessité profondément intime, il s'agit pour lui d'« une activité atroce », qui implique « une ouverture totale du corps et de l'âme ». Dans une lettre à son ami Oskar Pollak (en), en , selon lui :

« Un livre doit être la hache qui fend la mer gelée en nous ; voilà ce que je crois. »

Il dit également, quelques lignes plus loin, que :

« Si le livre que nous lisons ne nous réveille pas d'un coup de poing sur le crâne, à quoi bon le lire ? »

Pour Kafka, on doit écrire comme si l'on se trouvait dans un tunnel sombre, sans savoir encore comment les personnages vont se développer ultérieurement.

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  2. ? Robert Lévesque, « Kafka sous le pissat / Michael Kumpfmüller, La splendeur de la vie, Albin Michel, 2013, 291 p. / Joachim Unseld, Franz Kafka : une vie d'écrivain, Gallimard, 1984, 342 p. », Liberté, n 300,‎ , p. 66?68 (ISSN 0024-2020 et 1923-0915, lire en ligne, consulté le ).
  3. ? The Final Journey of Franz Kafka's Sisters (Le Dernier Voyage des S?urs de Franz Kafka).
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  5. ? Walter Benjamin et Lionel Duvoy (traducteur), Petite histoire de la photographie, Allia, , p. 31-32.
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  10. ? Kafka témoin d'un des premiers meetings aériens internationaux, Labex EHNE, Mathieu Flonneau.
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